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L'auteure

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En France...

 





Poésie, chanson, échanges épistolaires, théâtre, nouvelles, roman.....
L'expression écrite a-t-elle véritablement un sens ? Quelle est sa quête ?
Et la mienne, quelle est-elle, à suivre ainsi ce fil qui se déroule sur la lisière de mes rêves ?
Si je n'ai pas trouvé la réponse ni à la seconde ni à la troisième de ces interrogations, concernant la première, en expérimentant les genres cités, j'ai néanmoins repoussé mes limites, exploré ma liberté, reconnu mes barrières, plongé dans mes propres zones d'ombre, apprivoisé mes doutes, rencontré des visages, aimé des êtres uniques, anticipé sur des événements personnels, bousculé mes préjugés, consolé des chagrins, croisé des personnages pour certains retournés au néant, pour d'autres si fascinants qu'ils manquèrent de m'aveugler au point de déplorer de revenir à la substantielle réalité.

 

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31 août 2009 1 31 /08 /août /2009 21:19
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15 août 2009 6 15 /08 /août /2009 08:48
   

http://photocompetition.hispeed.ch/original/359161/zagladam/mur_dom_uk.jpg

 Le constat est acide.
 La maison est vide
 Celui qui habitait ici est parti.
 Ne restent que des cartons éventrés.
 Le jardin est dépeuplé 
 De ce qui lui donnait son âme.
 Demain viendra une autre femme.
 Dans la cuisine et les chambrées,
 Elle posera ses bagages, ses joies,
 Ses chants et son histoire,
 Sans jamais savoir
 Qu'il faut parfois briser les murs
 De silence et de pudeur
 Pour passer le seuil du bonheur
 Et s'en trouver plus mûr.
 La maison désormais est vide.
 Mon coeur prend des rides.
 Celui qui l'a délaissé a cloué sur la porte
Avant de quitter les lieux
 Ses lignes d'adieu.
 Il savait pourtant que je serai moins forte
 Loin de son attente...

 Entre les fentes
 De ces murs, comme un ultime message,
Que j'ouvre en manquant de courage :
 "Personne d'autre ne viendra demain,
 Toi seule devait y habiter..."
 .............................................................................
...........................................................................





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4 août 2009 2 04 /08 /août /2009 21:42




"Le pire ennemi de l'être humain est sans nul doute l'être humain lui-même.
Il n'y a rien qui fasse plus obstacle à son bonheur que son propre esprit, rien qui ne fasse plus obstacle à son propre rayonnement naturel que ses préjugés, ses peurs, ses colères, son orgueil ou sa jalousie.
Consciemment ou inconsciemment, ces "facteurs perturbateurs de l'esprit" sont comme un épais brouillard, pour ne pas dire.... comme une croûte épaisse, qui empêche l'être humain d'être simplement et profondément lui-même."

"Combien nous sommes prisonniers de nos représentations mentales, de notre appréciation "ordinaire" de la réalité. Cette perception ne traduit pas la réalité en fait, elle en est même une perception erronée puisque cette dernière est ultimement un flux en constante transformation. Nous percevons seulement la réalité au niveau des apparences et de ce fait nous lui attribuons des caractéristiques qu'elle ne possède intrinsèquement pas. Comme l'idée, par exemple, que les objets de nos perceptions ont une identité propre, solide et immuable.
Tout cela constitue autant de vues fausses qui non seulement nous empêchent de jouir pleinement de la réalité, mais nous conduit à des comportements erronés et inappropriés.  Vous ne pouvez en effet agir de manière juste si au départ votre perception est fausse. On peut dire, de manière générale, que nous vivons un perpétuel malentendu, non seulement avec les autres, mais dans toute notre vie.
Si vous avez maintenant compris que les objets de vos perceptions ne sont intrinsèquement pas tels  que vous les percevez, c'est-à-dire qu'ils ne sont pas immuables, permanents, mais qu'au contraire ils existent à la faveur de causes et conditions en interaction dynamique avec le reste de l'univers, votre rapport avec ce que vous percevez en est inévitablement transformé".


Bruno LALLEMENT

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31 juillet 2009 5 31 /07 /juillet /2009 22:13
   
 

 "L'accomplissement de soi est un processus d'élargissement de la conscience et de renoncement.
 En effet, en évoluant, votre conscience prend en compte de nouveaux paramètres qui, inévitablement, génèrent un mouvement au sein de votre esprit qui "reconfigure" en quelque sorte votre manière d'apprécier la réalité.
De fait, vous abandonnez vos vieilles idées pour laisser place aux nouvelles, à une perception plus neuve de la réalité. Vous renoncez à certains modes de fonctionnement parce qu'ils sont devenus caducs pour vous. En d'autres termes, votre mental se déstructure et se restructure en permanence."

 
(Bruno LALLEMENT - Comment utiliser pleinement votre potentiel - Le courrier du livre).


http://www.psychotherapeutes.net/pyramide-de-maslow.htm

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pyramide_des_besoins_de_Maslow

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15 juillet 2009 3 15 /07 /juillet /2009 17:48

TERRE LEGERE - Claire WOLNIEWICZ - Ed° V. HAMY - roman - 198 p




Ils sont de la même famille :

  • Laure: ex danseuse, mère séparée, élèvant seule son fils
  • Ferdinand, 8 ans, le fils de Laure. Comme beaucoup d'enfants, il est fan d'Harry Potter
  • Julien: 20 ans, demi-frère de Laure
  • Le père de Laure et Julien: 80 ans, auteur, à l'égo prononcé, séducteur de femmes

Dans ce roman à 4 voix, tour à tour se révèlent les caractères et les blessures passées.

Un voyage en est le prétexte : c'est Julien, en poste au VIETNAM, qui en prend l'initiative.


Une Laure dépassée par les préparatifs et les responsabilités maternelles aux prises avec les effets d'une chute l'ayant privée de sa passion ;  un Ferdinand à l'imaginaire en mouvement mais dépendant des attitudes de sa mère ;  un Julien attentif et bienveillant que l'enfance blessée a conduit à déployer énergie et désir de réunir ; un père avide de culture et de rayonnement en proie aux interrogations de l'âge.


Les vicissitudes et la participation à ce voyage de 3 autres personnages vont fournir l'occasion à cette famille de se pencher sur leurs relations à la lumière de leur histoire individuelle.


Après ses roman "Ubiquité" et  "Le temps d'une chute" Claire WOLNIEWICZ, dans "Terre légère", démontre une habileté à rapprocher les êtres à travers ces portraits peu à peu distillés. Elle excelle à démontrer combien il ne faut guère se fier aux apparences que chacun laisse paraître. En deçà, se dévoilent la profondeur des êtres.

Au bénéfice d'un événement, l'improbable peut encore se produire. Et c'est le moment fort du livre, celui qui fait du bien, celui qui redonne goût aux relations, celui qui vous tire vers l'émotionnel. Une histoire parfaitement maîtrisée. Sans l'ombre d'un doute, l'auteure au fil de ses romans grandit et c'est un plaisir de constater son évolution.


Contrairement au personnage du père, omniprésent par son savoir, la discrétion de Claire WOLNIEWICZ derrière ce texte n'en laisse pas moins voir quelques idées :

"Est-ce tout ne tient qu'à un fil ? Certains sont si gros et on les tient si fort, on sait qu'on ne les lâchera jamais. Mais les autres, ceux qui semblent aller de soi, que se passe-t-il si on les oublie ?" interroge-t-elle. "On a si peu de temps pour naître à l'instant". "Est-ce que mes propres mots n'ont pas plus de sens puisqu'ils m'appartiennent ?". 

EXTRAIT à lire sur le site de l'éditrice


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12 juillet 2009 7 12 /07 /juillet /2009 14:35
A chacun son film - La projection - Virginie MEGGLE - Editions EYROLLES "Les mots de la psychanalyse"

nous connaissons tous le terme "projeter". Au moins par la cinématographie. Ces images dirigées vers un écran...

Comprendre son fonctionnement sur un plan psychologique est plus complexe.

Ce livret de 116 pages se veut un ouvrage de vulgarisation et explique ce mécanisme humain.

Mécanisme de défense, limites, ruses de l'inconscient, projection familiale, sans compter les rêves "royaume de la projection" selon l'auteur et celle qui a lieu dans le cas du transfert en psychanalyse

Pour autant, "il ne faut pas voir des projections partout !" prévient Virginie MEGGLE.
Il faut se méfier des pièges de la projection, apprendre à déceler et à repérer les siennes, comprendre combien ses effets peuvent être révélateurs.


Une bonne manière de se donner des outils dans le développement personnel.

"Les projections mettent en relief la peur de disparaître, d'être effacé ou écrasé, celle de la sensation d'être mis en péril, fragilisé, diminué... et dévoilent notre part d'ombre.
Une fois écartée la peur de ce qu'elles révéleraient, nous nous sentons plus légers. La prise de conscience incite à mieux goûter à la lumière...
"

Je vous invite donc à découvrir vos propres films...


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1 juillet 2009 3 01 /07 /juillet /2009 21:19
A l'immortelle Bien-Aimée - Virginie REISZ - Ed° "Le temps qu'il fait"
- 87 p

« De me rappeler ton sourire, tes yeux, ta peau que je connaissais avant de la toucher, m'emporte, mon ange, hors de ma chambre, hors de mes barreaux, hors de ma douleur, de ce corps impitoyable dans le combat engagé jadis entre lui et moi, qui me trahit et se dérobe sans qu'il semble y avoir de fond cette fois, de plancher d'où repartir, se relever. Mais je n'ai pas dit mon dernier mot.»

C'est un homme. Il est seul, il est sourd, il est malade. Il vient de s'aliter pour la dernière fois. Son agonie va durer trois mois, au cours desquels, dans ses moments de rémissions, il écrit à la seule femme vraiment aimée son combat pour la liberté et l'art, ses ambitions et ses frustrations, sa soif d'amour et ses blessures les plus profondes.

Au fil de ce cinquième roman, Virginie Reisz nous fait entrer dans la tête de Ludwig van Beethoven, musicien, penseur aussi, et surtout être humain extraordinaire, dont le manque d'amour, les déficiences corporelles, la volonté et la confiance qu'il en a tirées, nous parlent, par delà les époques et au-delà de la musique.



Fidèle au style des lettres originales, Virginie REISZ nous place au chevet de Beethoven, malade.

Du 7 décembre 1826 au 23 mars 1827, le contenu des lettres laisse apparaître la dimension intérieure d'un artiste créateur, d'un homme et de son histoire. Sa musique, ses choix ("être moi, sans embarras"), ses rencontres (Mozart entre autres), ses influences, ses lectures (Goethe, Joseph Haydn), ses créations, sa famille ("l'enfance nous abandonne quand on devient orphelin, et peu importe qu'elle ait été tendre ou non : une partie de nous la regrette à jamais"), sa vie sociale, sa passion pour une femme dont il tait le nom ("mon ange"..."un flottement devant ton corps, rien de rassurant, rien de commun avec les étreintes sans conséquence ; en même temps une sensation de familiarité, cette assurance profonde d'être à ma place, cette paix de l'âme"..."j'ai tenté, sans en avoir conscience, de nous effacer, nous... j'ai confondu le manque de coeur avec celui du corps... depuis que tu n'es plus là pour l'enchanter"), ses sentiments, ses émotions ("je me défendais de l'émotion, on se défend de la beauté, de celle qui nous bouleverse au delà du terrain connu"), son handicap, sa souffrance et son attitude devant la mort.



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24 juin 2009 3 24 /06 /juin /2009 22:02
L'Attente du soir - Tatiana ARFEL - roman - Edit° José CORTI - 325 p




- Première partie : un plus un plus un
- Deuxième partie : deux plus un
- Troisième partie : trois
Mais quel est donc ce décompte étrange ?


A travers 24 chapitres, évoluent trois personnages atypiques, dont les personnalités se placent aux antipodes les unes des autres, sans apparent trait commun :


Melle B.
Morne, éteinte, sans but, échappant volontairement au regard des autres, elle se livre à de névrotiques répétitions de tables de multiplication pour conjurer ses crises de panique. Privée d'amour parental depuis sa naissance, en proie à des angoisses sclérosantes, n'a vu qu'une seule fois la couleur du bonheur...


Giacomo
Clown aux cheveux argentés, trop vieux pour parler d'amour à Ismaëla, mais d'une générosité aussi fine que son empathie. De son enfance à ses jours en déclin, sans descendance, il invente des symphonies de senteurs pour inviter les spectateurs à renouer avec l'émotion de leurs sens.


Le môme
C'est sur une décharge qu'il a grandi. Seul, sans lien humain pendant longtemps, c'est un chien qui l'ouvrira à une première communication. L'enfant ne parle pas, il aboie.
Mais un jour, le chien revient le ventre en sang.
Le môme a appris le langage des couleurs. Le jaune lui procure bonheur. Le rouge est la couleur de la douleur ; celle ressentie à la disparition de son unique compagnon.
Il crée sans le savoir. Une sortie de la décharge le précipitera vers un monde hostile dont il refuse de rester prisonnier en s'adonnant toujours avec plus de frénésie à la composition picturale.


La lente et progressive rencontre de ces destinées est tout l'art de Tatiana ARFEL.
Approfondissant la logique et la personnalité de chacun de ces êtres, elle déploie son talent dans des descriptions d'une subtilité fascinante, dresse une toile d'une remarquable humanité. Le style est prometteur malgré quelques longueurs, aisément pardonnables tant l'intérêt reste cependant maintenu jusqu'aux dernières pages.
Une jolie prouesse que ce rapprochement orchestré avec une dextérité peu habituelle dans un premier roman.

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19 juin 2009 5 19 /06 /juin /2009 15:23

Cette année, Jennifer, ma fille passe son Bac, série Littéraire.

Hier, ce fut donc le grand jour pour la Philosophie (et pour la Littérature).

Pour la Philosophie, 3 sujets furent proposés au choix du candidat  :

1- l'objectivité de l'histoire suppose-t-elle l'impartialité de l'historien ?

2- le langage trahit-il la pensée ?

3- explication de texte (la doctrice de l'auteur n'était pas requise.  Il fallait et suffisait que l'explication rende compte, par la compréhension précise du texte, du problème dont il est question).

C'est ce dernier choix qu'a opéré Jennifer.

Je vous en partage, pour réflexion, le texte ci-dessous :

" Il n'y a pas de satisfaction qui d'elle-même et comme de son propre mouvement vienne à nous ; il faut qu'elle soit la satisfaction d'un désir. Le désir, en effet, la privation, est la condition préliminaire de toute jouissance. Or avec la satisfaction cesse le désir et par conséquent la jouissance aussi. Donc la satisfaction, le contentement, ne sauraient être qu'une délivrance à l'égard d'une douleur, d'un besoin ; sous ce nom, il ne faut pas entendre en effet seulement la souffrance effective, visible, mais toute espèce de désir qui, par son importunité, trouble notre repos, et même cet ennui qui tue, qui nous fait de l'existence un fardeau. Or c'est une entreprise difficile d'obtenir, de conquérir un bien quelconque ; pas d'objet qui ne soit séparé de nous par des difficultés, des travaux sans fin ; sur la route, à chaque pas, surgissent des obstacles. Et la conquête une fois faite, l'objet atteint, qu'a-t-on gagné ? Rien assurément, que de s'être délivré de quelque souffrance, de quelque désir, d'être revenu à l'état où l'on se trouvait avant l'apparition de ce désir. Le fait immédiat pour nous, c'est le besoin tout seul c'est-à-dire la douleur. Pour la satisfaction et la jouissance, nous ne pouvons les connaître qu'indirectement ; il nous faut faire appel au souvenir de la souffrance, de la privation passée, qu'elles ont chassées tout d'abord. Voilà pourquoi les biens, les avantages qui sont actuellement en notre possession, nous n'en avons pas une vraie conscience, nous ne les apprécions pas ; il nous semble qu'il n'en pouvait être autrement ; et, en effet, tout le bonheur qu'ils nous donnent, c'est d'écarter de nous certaines souffrances. Il faut les perdre pour en sentir le prix ; le manque, la privation, la douleur, voilà la chose positive, et qui sans intermédiaire s'offre à nous".

SCHOPENHAUER, Le monde comme volonté et comme représentation.

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A mes amis bloggeurs :
Que vous inspire ce texte ? Partagez-vous les constats de l'auteur ?
Selon votre vécu, deux siècles plus tard, contesteriez-vous ceux-ci à l'auteur ?
Auriez-vous choisi vous aussi ce sujet ?
...


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« La volonté singulière d'un individu n'a qu'une existence illusoire, elle est de toutes parts immergée dans le jeu infini et absurde d'une réalité qui la dépasse et finit par la détruire ».
(Schopenhauer)

"La souffrance (vu sur WIKIPEDIA)
Le comportement des animaux et des hommes, qui sont les objectivations supérieures de la Volonté dans les strates de l'existence, est entièrement régi par la fuite de la souffrance, qui, comme idiosyncrasie, est perçue, in fine, positivement. Les plaisirs ne sont que des illusions fugaces, des apaisements possibles au creux des désirs et tracas ininterrompus. Ils n’apparaissent qu’en contraste avec un état de souffrance, et ne constituent pas une donnée palpable réellement pour les êtres en mouvement. Le bonheur, toujours fugace, peut constituer un repos de l’esprit mais reste un repos éphémère, puisqu'il est sans cesse troublé par l'apparition de nouveaux désirs, lesquels, s'ils restent inassouvis, constituent un obstacle au bonheur. Parce que tous les êtres souffrent, la souffrance est la vérité commune aux êtres qui constituent le monde, et une vérité psychologique et archétypique de la condition humaine."

"Le sentiment amoureux (vu sur WIKIPEDIA)
Le sentiment amoureux n’est autre chose que l’instinct sexuel en puissance ; et l’instinct sexuel traduit la tendance concrète du Vouloir à se perpétuer dans l’existence. C’est dire que la passion amoureuse désigne cette ruse que le Vouloir applique à des êtres dont les intérêts conscients sont uniquement égoïstes. C’est ainsi que je vais me croire libre de rechercher à la fois la compagnie de l’être aimé et la satisfaction engendrée par la jouissance sexuelle, alors qu’en réalité, par une telle attitude, je me constitue en esclave du Vouloir et de son intérêt primordial : sa manifestation phénoménale. Avoir l’illusion de servir ses intérêts privés, c’est donc assurer la subsistance du Vouloir auquel je suis soumis."

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7 juin 2009 7 07 /06 /juin /2009 20:50



Pourquoi dit-on : "tomber amoureux" ?
D'où vient cette notion de chute alors que l'amour transporte ou relève ?
Qui, le premier, a fait croire au monde
qu'être en amour équivalait à perdre l'équilibre ?


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