Parce que les mots ont leurs limites mais un si grand pouvoir, Parce que l'écrit est ce qui restera de plus tangible de nos passages... Parce que l'intimité se crée par le langage, Et l'amitié par les lignes en partage.
" Tu es pressé d'écrire, Comme si tu étais en retard sur la vie. S'il en est ainsi fais cortège à tes sources. Hâte-toi. Hâte-toi de transmettre Ta part de merveilleux de rébellion de bienfaisance" Extrait de « Commune présence » ---- « L'essentiel est...
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Quand la littérature sera produite par les machines ... Bien des questions à la lecture de cet article du Monde du 28 mai 2010... J'avoue que j'en reste perplexe ! Quand la littérature parle machine... que reste-t-il de l'esprit, de l'intériorisation...
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L Le silence de l’homme portant cagettes de fruits trois par trois pour les vendre sur le marché. Celui de la marchande installant chaises cannelées pour y déposer l'attente du chaland. Celui de la jeune fille fumant nerveusement, tirant bouffées sur...
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« Il n’y a pas de lumière sans ombre et pas de totalité psychique sans imperfection. La vie nécessite pour son épanouissement non pas de la perfection mais de la plénitude. Sans imperfection, il n’y a ni progression, ni ascension. » Carl Gustav JUNG,...
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" Le silence guérit " - Yolande DURAN-SERRANO et Laurence VIDAL - Editions ALMORA. Sans davantage de mots, donc... je viens ici déposer les liens pour vous conduire vers les co-auteurs de ce livre qui m'accompagne actuellement : Découvrez YOLANDE et son...
Lire la suite« Ce livre fait écho à En marge des jours . Comme lui, il est composé de fragments, comme lui il a trouvé son point de départ dans de brèves notes que j’inscris parfois dans mon Cahier privé. Mais ici sont évoqués ce que Victor Hugo dans "Choses vues"...
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(photo issue du site : raf-photos.blogspot.com/ 2008_04_11_archive.html ) "Soyez attentif à chaque parole que vous prononcez, parce qu’il y a toujours dans la nature un des quatre éléments, la terre, l’eau, l’air ou le feu, qui attend le moment où il...
Lire la suiteQu'ai-je emporté de là-bas ? Des paysages sublimes, des odeurs, des visages. Celui de cette dame. Fichu serré, visage creusé d'arabesques de rides, pantalon turc, tenant un bâton d'une main et de l'autre un citron et une herbe aromatique. Sa famille guettait...
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Sur le mur deux prénoms gravés A pas lents ont franchi le temps. L’étrangère, le cœur jeté, A délaissé son amour à l’océan Où de soir en matin un prénom s’allonge Comme l’ombre au sel de la vie mensonge. Sur le sable leurs promesses tracées A pas lents...
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