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L'auteure

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En France...

 





Poésie, chanson, échanges épistolaires, théâtre, nouvelles, roman.....
L'expression écrite a-t-elle véritablement un sens ? Quelle est sa quête ?
Et la mienne, quelle est-elle, à suivre ainsi ce fil qui se déroule sur la lisière de mes rêves ?
Si je n'ai pas trouvé la réponse ni à la seconde ni à la troisième de ces interrogations, concernant la première, en expérimentant les genres cités, j'ai néanmoins repoussé mes limites, exploré ma liberté, reconnu mes barrières, plongé dans mes propres zones d'ombre, apprivoisé mes doutes, rencontré des visages, aimé des êtres uniques, anticipé sur des événements personnels, bousculé mes préjugés, consolé des chagrins, croisé des personnages pour certains retournés au néant, pour d'autres si fascinants qu'ils manquèrent de m'aveugler au point de déplorer de revenir à la substantielle réalité.

 

Archives

21 mai 2007 1 21 /05 /mai /2007 10:50

Inutile de m’offrir des fleurs
Tous les jours.
Inutile de m’écrire des heures
Sur l’ amour.
Inutile de m’inonder de textos
Pour me rendre accro.
J’ai tout lu dans ton regard,
J’ai tout saisi !
 
Refrain
Ça me rend rêveuse
D’être amoureuse
Ça me rend heureuse
Et puis joueuse.
Boudeuse et cafardeuse
Quand t’es plus là,
Chahuteuse et enjôleuse
Quand t’es pas loin !
 
 
Inutile d’appeler maman
Elle sait déjà !
Inutile d’aller au Tour du Mans
Pour prouver quoi ?
Inutile de faire La Nouvelle Star
Laisse ta guitare !
J’ai tout lu dans ton regard,
J’ai tout saisi !
 
Refrain
 
Inutile d’en faire de trop
Puisque je t’aime.
Inutile de jouer les héros
C’est pas la peine.
Inutile d’oublier d’être toi
Pour que je te crois.
J’ai tout lu dans ton regard,
J’ai tout saisi !
 
Refrain
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10 avril 2007 2 10 /04 /avril /2007 21:17
(photo de Yann ARTHUS-BERTRAND - http://www.yannarthusbertrand.com)
 
Quand les menaces
Dans ton ciel s’amassent.
Quand l’angoisse te glace
Et que l’avenir te tracasse.
Quand tu ne vois plus rien venir,
Il reste pourtant tant d’horizons à découvrir…
REFRAIN
Marche, marche, sans réfléchir.
Marche, marche, pour t’affranchir.
Aucun homme n’échappe à ses peines
Mais les douleurs s’éteignent !
Marche, marche et regarde !
Sens, écoute et comprends !
Tu trouveras où poser ta peine !
Quelque part, tu as ta place
Dans ce monde multiple.
Regarde !
Les couleurs africaines.
Les terres australiennes.
Les neiges canadiennes.
Les laves vésuviennes.
Sens !
La cuisine vénitienne.
La lavande et la marjolaine.
Les parfums des troènes.
Les fleurs polynésiennes.
REFRAIN
Ecoute !
Le chant d’une fontaine.
Une musique jamaïquaine.
Une samba brésilienne.
Un poème de Verlaine.
Comprends !
Les fouilles égyptiennes.
L’écriture phénicienne.
La pensée tibétaine.
Et la sagesse indienne.
REFRAIN
Joue !
Que l’enfance te revienne !
Invente, espère, et mets tout ça en scène !
Joue jusqu’à ce que tu te surprennes !
C’est en rêvant que tous apprennent !
Aime !
L’amour est un cadeau suprême.
L’amour est la seule chose qui tienne.
Aime et ta vie sera pleine.
Aime de toute ta faiblesse humaine !
REFRAIN
 
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27 mars 2007 2 27 /03 /mars /2007 21:16

 "Glycines" - Claude MONET

 

J’ai bluffé tant de fois

J’ai  pris des airs narquois

J’ai causé des regrets

En cachant qui j’étais

J’ai trompé mon ennui

En brûlant bien des nuits

J’ai brisé deux ou trois cœurs

Avec mon ton  moqueur.

Mais depuis ton départ

J’ai changé mon regard

J’ai compris mes erreurs

Apaisé ma douleur

J’ai pris ma vie en main

Je crois au lendemain

J’ai appris à le faire

J’ai appris à le faire

Refrain (2 fois) :

Et, je reste forte

Comme je te l’avais promis.

Oui je reste forte

A toi, je n’ai jamais menti.

Je ne fais plus de cauchemars.

Tu sais, tu vas pas me croire,

J’ai planté des glycines !

J’ai appris la cuisine.

Je sais couper l’aubépine

Sans me prendre d’épines.

Et j’ai un petit ami

Je me love au creux de lui la nuit.

Refrain (2 fois) :

Tu vois, je reste forte

Comme je te l’avais promis.

Oui je reste forte

A toi, je n’ai jamais menti.

 

 

 

 

 

 

 

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16 février 2007 5 16 /02 /février /2007 21:05

image vue sur site : http://elfwood.lysator.liu.se/art/a/d/adele/fragile.jpg.html

Si tu passes là

C'est écrit "fragile"

Ici, y'a plein de rêves qui s'empilent.

Fais bien attention

Où tu poses tes pieds !

Ici, les cœurs sont des pièces de cristal.

Y'a de la porcelaine

Faut pas être brutal !

Sois délicat

Quand tu pousses la porte !

Si tu entres là,

Oublie tout le désordre,

Ici, c'est plein de débris du passé.

Si tu t'assois là,

C'est pas pour un instant.

Ici, tu viens te poser pour longtemps.

Y'a de la porcelaine,

Faut pas être brutal !

Sois délicat

Quand tu pousses la porte !

Les coeurs de porcelaine,

Faut pas leur faire de mal,

La casse, leur est fatale !

REFRAIN :

Tu peux ouvrir tes bagages,

Te mettre à l'aise !

Y'a plus de place que t'espères !

Et s'il le faut,

On tombera tous les murs.

Depuis longtemps j'attendais

Ton arrivée.

Y'a de la place pour ton bonheur.

Et s'il le faut,

On tombera tous les murs.

Si les lieux te plaisent,

Si tu captes leur âme,

Tu pourrais en faire tout leur charme.

Apporte tes bagages.

On se fait un rodage !

On saura vraiment ce qu'on partage.

Y'a de la porcelaine,

Faut pas être brutal !

Sois délicat

Quand tu pousses la porte !

Les coeurs de porcelaine,

Faut pas leur faire de mal

La casse, leur est fatale !

AU REFRAIN (AD LIB)  

 

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13 janvier 2007 6 13 /01 /janvier /2007 22:47


Accoudé(e) sur un mur
J’ai plongé dans la lecture
De ces mots si doux
Que t‘avais écrits pour nous
D’une terrasse de café
Où tu m’embrassais
C’était le printemps
Je t’aimais tellement.

Accroupi(e), dos au mur
J’ai pleuré à la lecture
De ces mots d’adieu
Tracés par un(e) inconnu(e)
Par un jour très pluvieux
Et qui me disait :
« Bye bye mon amour
On s’aimera toujours » !

Mais ce soir
Je suis seul(e) dans le noir
Dans une chambre solitaire.
Tout ce passé m’enterre
Je ne vois plus mon avenir
Qui suis-je privé(e) de ton rire ?
Tes mots, ta voix, ton sourire ?
J’aimais tant ton désir.
J’aimais tant ta présence.
Je te voyais comme une évidence…


Dépité(e), dos au mur
Je comprends que tout est parjure
Dans ces mots si doux
Qu’écrivent les inconnu(e)s
Aux terrasses des cafés
Quand ils(elles) vont chercher
Un cœur accueillant
Où s’asseoir un instant.

Tous les jours dos au mur
Je me bats sans être sûr(e)
D’oser sans retenue
Aborder cet(te) inconnu(e)
Demandant un café
Et qui reviendrait
Vers un ex amour
Qu’il(elle) aime toujours.


Mais ce soir
Je suis seul(e) dans le noir
Dans une chambre solitaire.
Tout ce passé m’enterre
Je ne vois plus mon avenir
Qui suis-je privé(e) de ton rire ?
Tes mots, ta voix, ton sourire ?
J’aimais tant ton désir.
J’aimais tant ta présence.
Je te voyais comme une évidence


Créée le 04/03/2006

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2 novembre 2006 4 02 /11 /novembre /2006 15:00

                

               Image vue sur www.deviantart.com

La vie n’est pas facile

 

La mort me rend fragile

 

La rage me tient sur le fil

 

Des rêves volubiles.

  

 

Le temps vole ma vie

 

La peur zappe l’envie

 

Certains comptent pour du beurre

 

D’autres brisent mon cœur.

 

 

 

Refrain

Toutes mes illusions

 

Jamais évanouies.

 

Toutes mes illusions

 

Je sais c’est inouï 

 

Toutes mes illusions

 

Ne m’ont jamais trahi

 

Toutes mes illusions

 

M’ont souvent reconstruit.  

 

 

L’envie envoie des coups

 

La haine dégaine partout

 

Les maux donnent des fous

 

Aux rêves aigre-doux.

 

 

 

L’espoir amène le jour

 

L’enfant sourit toujours

 

L’amour est un baume

 

Il fait grandir un homme

 

 

 

Refrain                                                                         

                                            Ecrit le 10 Mai 2006

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21 septembre 2006 4 21 /09 /septembre /2006 11:33

Elle vend des fringues
Entre Lyon et Maringue
Ses yeux cernés sourient aux gens
Enfin… à ceux qui ont le temps
 
Elle déballe à six heures
Et s’étale à minuit
Dans des draps de couleur
À qui elle se confie
 
Elle mène une vie de dingue
En charriant son bastringue
Elle aime son boulot
Même si parfois ses yeux prennent l’eau
 
Si tout va bien
Elle se rendra plus loin
Elle prendra une échoppe
Pour en faire un book-shop
 
Même dans dix ans
Il sera toujours temps
De bâtir plus grand
Si les gens, bien sûr, restent clients
 
Des projets, tu vois, elle en a
Elle s’en sort avec ça
Si t’as pas le temps, c’est tout ce qu’elle te dira d’elle
En toute simplicité, la belle
 
Tu ne verras pas que c’est dans ses cernes
Que tout le reste se discerne…
Et tu ne sauras jamais à quoi elle rêve
Quand elle s’écroule dans le jour qui s’achève.
(Ecrit le 16/09/2006)

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24 juin 2006 6 24 /06 /juin /2006 21:32

(photo prise par Marianne, Parc de l'Orangerie le 16/06/06)
 
L’Absence
C’est une porte qu’on ne ferme jamais
Des phrases qu’on lui lance en secret
Sans sa présence.
 
L’Absence
C’est une lampe des nuits entières qui brûle
Et tous les projets qu’on trouve ridicules
Sans sa présence
 
Refrain
L’Absence
Une carence
Une distance
Une dissonance
Sans aucun sens.
L’Absence
Un vide immense
Des bras qui manquent
Et toutes ces larmes qu’elle vous flanque.
 
L’Absence
C’est tous les torts qu’on se doit
De n’avoir pas su lui dire qu’on ne voit
Plus rien sans sa présence
 
L’Absence
C’est tout ce qu’on met dans la balance
Pour conjurer ce grand silence
Qui vous laisse sans défense.
 
Refrain
 
L’absence
C’est des photos partout en évidence
Des greniers plein de son existence
Et de sa présence.
 
Refrain
 
L’Absence
Tout ce qu’on s’était toujours promis
De ne jamais vouloir vivre.
(texte écrit par Marianne le 02/04/2004)
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26 mai 2006 5 26 /05 /mai /2006 21:54

On oubliera le temps
On oubliera les chants
Des cygnes noirs
Qui nous menaceront.
On risquera à deux
On ouvrira les yeux
Des âmes noires
Qui nous entoureront.
Il est comme une extase
Un point qui suspend toutes mes phrases.
Refrain
Je le suivrai
Dès qu’il touchera mon cœur.
Je me rendrai
En avance à ses heures.
Je lui donnerai mon corps
Et puis toutes mes nuits,
Une provision d’amour,
Et puis de beaux souvenirs
Avant le jour du grand départ.
Je le suivrai
Car il touchera mon cœur.
Je le suivrai jusqu’à ce que la mort.
Nous sépare
On passera nos jours
A renforcer l’amour
Aux sources claires
Qui nous attireront.
On glissera sur l’eau.
On lissera nos ailes
Aux lueurs des matins
Qui nous réchaufferont
Il est comme une extase
Un point qui suspend toutes mes phrases

Refrain
(texte écrit par Marianne le 29/04/2004 publié sur le blog le 26/05/06) encore en recherche de musique ! Avis aux compositeurs !!!!

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20 avril 2006 4 20 /04 /avril /2006 20:50
 
J’ai marché dans les rues de Hong-Kong
Toute pieds nus, j’avais perdu mes tongs !
Dans ma tête s’obstinait un tout nouveau song.
Puis, soudain, j’ai entendu sonner ce gong !
 
Je me suis assise sous cet arbre à Hong –Kong.
Comme les autres, j’avais trouvé la route longue.
J’ai vu tant de choses qui passaient dans les yeux
De ces gens qui regardaient tout là-haut dans les cieux
 
Alors, à mon tour, je me suis installée
Sous les branches de l’Arbre à Souhaits.
J’ai caché mon papier griffonné
Dans le creux d’une comète colorée.
 
Et mon souhait, je l’ai lancé, lancé très haut !
Et mon souhait s’est vraiment bien accroché !
 
REFRAIN
Je souhaite que tu ailles bien plus haut
Que la cime de cet arbre si beau !
Je souhaite que la vie te donne la force !
Je souhaite que plein d’amis s’adossent à ton écorce !
Je souhaite que l’amour soit ta sève
Et que ses racines poussent sans trêve !
 
J’ai erré dans les rues de Hong-Kong
Résonnant du fracas des joueurs de mah-jong
Moi, y’ avait dans ma tête un tout nouveau song
Martelant des souhaits sur la route longue.
 
De ma jonque dans la baie de Hong-Kong
Je t’envoie mille baisers, mon joueur de ping-pong !
Tu peux me trouver dans les rues de Hong-Kong
Sous l’Arbre à Souhaits, pieds nus sans mes tongs…
 
Là bas, j’ai lancé mes souhaits au plus haut !
Tu verras, qu’ils se sont bien accrochés !
 
REFRAIN
 
Texte écrit et déposé  par Marianne
 
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