Poésie, chanson, échanges épistolaires, théâtre, nouvelles, roman.....
L'expression écrite a-t-elle véritablement un sens ? Quelle est sa quête ?
Et la mienne, quelle est-elle, à suivre ainsi ce fil qui se déroule sur la lisière de mes rêves ?
Si je n'ai pas trouvé la réponse ni à la seconde ni à la troisième de ces interrogations, concernant la première, en expérimentant les genres cités, j'ai néanmoins repoussé mes limites,
exploré ma liberté, reconnu mes barrières, plongé dans mes propres zones d'ombre, apprivoisé mes doutes, rencontré des visages, aimé des êtres uniques, anticipé sur des événements personnels,
bousculé mes préjugés, consolé des chagrins, croisé des personnages pour certains retournés au néant, pour d'autres si fascinants qu'ils manquèrent de m'aveugler au point de déplorer de
revenir à la substantielle réalité.
"Glycines" - Claude MONET
J’ai bluffé tant de fois
J’ai pris des airs narquois
J’ai causé des regrets
En cachant qui j’étais
J’ai trompé mon ennui
En brûlant bien des nuits
J’ai brisé deux ou trois cœurs
Avec mon ton moqueur.
Mais depuis ton départ
J’ai changé mon regard
J’ai compris mes erreurs
Apaisé ma douleur
J’ai pris ma vie en main
Je crois au lendemain
J’ai appris à le faire
J’ai appris à le faire
Refrain (2 fois) :
Et, je reste forte
Comme je te l’avais promis.
Oui je reste forte
A toi, je n’ai jamais menti.
Je ne fais plus de cauchemars.
Tu sais, tu vas pas me croire,
J’ai planté des glycines !
J’ai appris la cuisine.
Je sais couper l’aubépine
Sans me prendre d’épines.
Et j’ai un petit ami
Je me love au creux de lui la nuit.
Refrain (2 fois) :
Tu vois, je reste forte
Comme je te l’avais promis.
Oui je reste forte
A toi, je n’ai jamais menti.
image vue sur site : http://elfwood.lysator.liu.se/art/a/d/adele/fragile.jpg.html
Si tu passes là
C'est écrit "fragile"
Ici, y'a plein de rêves qui s'empilent.
Fais bien attention
Où tu poses tes pieds !
Ici, les cœurs sont des pièces de cristal.
Y'a de la porcelaine
Faut pas être brutal !
Sois délicat
Quand tu pousses la porte !
Si tu entres là,
Oublie tout le désordre,
Ici, c'est plein de débris du passé.
Si tu t'assois là,
C'est pas pour un instant.
Ici, tu viens te poser pour longtemps.
Y'a de la porcelaine,
Faut pas être brutal !
Sois délicat
Quand tu pousses la porte !
Les coeurs de porcelaine,
Faut pas leur faire de mal,
La casse, leur est fatale !
REFRAIN :
Tu peux ouvrir tes bagages,
Te mettre à l'aise !
Y'a plus de place que t'espères !
Et s'il le faut,
On tombera tous les murs.
Depuis longtemps j'attendais
Ton arrivée.
Y'a de la place pour ton bonheur.
Et s'il le faut,
On tombera tous les murs.
Si les lieux te plaisent,
Si tu captes leur âme,
Tu pourrais en faire tout leur charme.
Apporte tes bagages.
On se fait un rodage !
On saura vraiment ce qu'on partage.
Y'a de la porcelaine,
Faut pas être brutal !
Sois délicat
Quand tu pousses la porte !
Les coeurs de porcelaine,
Faut pas leur faire de mal
La casse, leur est fatale ! AU REFRAIN (AD LIB)
Accoudé(e) sur un mur
J’ai plongé dans la lecture
De ces mots si doux
Que t‘avais écrits pour nous
D’une terrasse de café
Où tu m’embrassais
C’était le printemps
Je t’aimais tellement.
Accroupi(e), dos au mur
J’ai pleuré à la lecture
De ces mots d’adieu
Tracés par un(e) inconnu(e)
Par un jour très pluvieux
Et qui me disait :
« Bye bye mon amour
On s’aimera toujours » !
Mais ce soir
Je suis seul(e) dans le noir
Dans une chambre solitaire.
Tout ce passé m’enterre
Je ne vois plus mon avenir
Qui suis-je privé(e) de ton rire ?
Tes mots, ta voix, ton sourire ?
J’aimais tant ton désir.
J’aimais tant ta présence.
Je te voyais comme une évidence…
Dépité(e), dos au mur
Je comprends que tout est parjure
Dans ces mots si doux
Qu’écrivent les inconnu(e)s
Aux terrasses des cafés
Quand ils(elles) vont chercher
Un cœur accueillant
Où s’asseoir un instant.
Tous les jours dos au mur
Je me bats sans être sûr(e)
D’oser sans retenue
Aborder cet(te) inconnu(e)
Demandant un café
Et qui reviendrait
Vers un ex amour
Qu’il(elle) aime toujours.
Mais ce soir
Je suis seul(e) dans le noir
Dans une chambre solitaire.
Tout ce passé m’enterre
Je ne vois plus mon avenir
Qui suis-je privé(e) de ton rire ?
Tes mots, ta voix, ton sourire ?
J’aimais tant ton désir.
J’aimais tant ta présence.
Je te voyais comme une évidence
Créée le 04/03/2006
Image vue sur www.deviantart.com
La vie n’est pas facile
La mort me rend fragile
La rage me tient sur le fil
Des rêves volubiles.
Le temps vole ma vie
La peur zappe l’envie
Certains comptent pour du beurre
D’autres brisent mon cœur.
Toutes mes illusions
Jamais évanouies.
Toutes mes illusions
Je sais c’est inouï
Toutes mes illusions
Ne m’ont jamais trahi
Toutes mes illusions
M’ont souvent reconstruit.
L’envie envoie des coups
La haine dégaine partout
Les maux donnent des fous
Aux rêves aigre-doux.
L’espoir amène le jour
L’enfant sourit toujours
L’amour est un baume
Il fait grandir un homme
On oubliera le temps
On oubliera les chants
Des cygnes noirs
Qui nous menaceront.
On risquera à deux
On ouvrira les yeux
Des âmes noires
Qui nous entoureront.
Il est comme une extase
Un point qui suspend toutes mes phrases.
Refrain
Je le suivrai
Dès qu’il touchera mon cœur.
Je me rendrai
En avance à ses heures.
Je lui donnerai mon corps
Et puis toutes mes nuits,
Une provision d’amour,
Et puis de beaux souvenirs
Avant le jour du grand départ.
Je le suivrai
Car il touchera mon cœur.
Je le suivrai jusqu’à ce que la mort.
Nous sépare
On passera nos jours
A renforcer l’amour
Aux sources claires
Qui nous attireront.
On glissera sur l’eau.
On lissera nos ailes
Aux lueurs des matins
Qui nous réchaufferont
Il est comme une extase
Un point qui suspend toutes mes phrases
Refrain
(texte écrit par Marianne le 29/04/2004 publié sur le blog le 26/05/06) encore en recherche de musique ! Avis aux compositeurs !!!!